5 éléments à traduire parfaitement avant de lancer votre e-commerce à l’international

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5 éléments à traduire parfaitement avant de lancer votre e-commerce à l'export
5 éléments à traduire parfaitement avant de lancer votre e-commerce à l’export

Nos stratèges en marketing partent à la conquête de notre «village global».

Dans l’hexagone, plus de la moitié –55 %– des e-commerçants français vendent à l’international.

L’internationalisation est une opportunité de croissance souvent suivie par les e-marchands. Les plus grands sites e-commerce sont quasiment tous passés par cette case : Amazon, eBay, Expedia, Pixmania, Rue du Commerce, PriceMinister, Vente Privée, Zalando, etc.

Les principales raisons sont les suivantes:

  • la recherche d’économies d’échelle pour mieux amortir leurs coûts fixes, et ainsi réaliser plus de profits,
  • la mutualisation des infrastructures technologiques et logistiques,
  • le gain en pouvoir de négociation sur leurs fournisseurs, via des volumes d’achat plus importants qui permettent d’obtenir de meilleurs accords.

Bien que l’idée de rendre son business e-commerce « mondial » soit alléchante, le pragmatisme reste tout de même de rigueur. 40 % des e-commerçants français considèrent l’aspect « linguistique » comme le premier « challenge » pour le développement à l’international de leur activité. La traduction serait donc « LE » défi de l’internationalisation e-commerce.

Pour ne pas rater votre manœuvre, vous pouvez demander à des traducteurs professionnels de vous aider. Si vous souhaitez utiliser un service 100% en ligne, utilisé par les plus grands (Google notamment), demandez un devis chez Translated.net.

L’avantage est que le résultat sera, normalement, « excellent ». Au delà de la simple transcription d’une langue à une autre,la traduction professionnelle permet d’utiliser un langage fluide, et adapté à la manière dont les gens pensent et parlent dans le pays ciblé.

Mais Encore faut-il savoir ce que vous devez lui demander de traduire !
Cet article vous rappelle donc les 5 éléments à traduire parfaitement avant de lancer votre e-commerce à l’international.

1 – Votre site, et tous vos contenus

Bien évidemment, pour partir à la conquête du monde, votre site et vos contenus doivent être les premiers éléments à traduire dans la langue du pays cible. Le site qui se lance en dehors de ses frontières doit se montrer « irréprochable » sur la qualité de son contenu et coller parfaitement à la manière dont les gens pensent dans le pays. Surtout, évitez les transcriptions hâtives et peu soignées. Élargir sa cible à l’international implique des coûts qu’il ne faut pas négliger. Et la traduction de votre site fait parti intégrante de ces derniers. Ne rognez pas sur ce poste.

2 – Le catalogue entier, et vos flux produits

Se lancer à l’export impose à l’e-marchand de traduire attentivement l’ensemble de ses fiches produits. En fonction de la taille du catalogue produit, cela peut être un travail titanesque. Mais ce n’est pas tout : le e-marchand international doit aussi s’assurer que tous ses flux produits CSV sont bien traduits et correspondent aux exigences des shopbots locaux. Car en effet, la meilleure manière de « tâter le terrain » est de passer par les places de marchés pour étoffer rapidement la distribution dans de nouveaux pays, prendre la température et tester le marché en condition réelle. Il serait dommage de rater cette opportunité car vous n’avez pas correctement adapté vos CSV dans la langue du pays cible.

3 – Votre stratégie search organique et payante

En changeant de langues, vous changez de sémantique et de concurrence. Vous devez donc faire une repasse sur votre « SEO export ». Assurez vous en premier lieu que la partie technique et éditoriale du SEO est impeccable sur le nouveau site localisé. Considérez des investissements pour améliorer continuellement votre visibilité naturelle, dès que votre déploiement dans un pays devient « sérieux ». Quant à votre référencement payant, lancer quelques campagnes SEA est la technique la plus simple, rapide et puissante de s’attaquer à un nouveau marché. Vous aurez donc besoin de faire traduire vos campagnes Adwords : mots clés, annonces textes, extensions d’annonces…

4 – Tout autre matériel publicitaire et marketing

Il est possible que vous ayez besoin de traduire d’autres publicités, documentations produits, brochures, livres blancs… Là encore préférez la « qualité » à la « rapidité ». La traduction de campagnes publicitaires requiert d’autres compétences qui dépassent le simple transcodage, il ne s’agit pas de traduire simplement des mots d’une langue à une autre. Au-delà de la traduction textuelle – pour des raisons culturelles, religieuses, politiques ou encore économiques- il s’agit de prendre en compte et de localiser les éléments graphiques, les références et les facteurs qui traduisent une idéologie dans la publicité.

5 – Les templates d’e-mails et autres documents liés au service clients

Si on considère que vendre dans de nouveaux pays accélère mécaniquement votre cadence commerciale, avec votre niveau d’activité, votre saisonnalité, l’éventail de pays que vous couvrez… vous vous retrouvez rapidement submergés par des mails & des coups de fils de clients parlant différentes langues. Or vous devez être capables de bien servir vos clients, dans leurs langues. La encore, la traduction joue un rôle clé. Car la bonne nouvelle est que vous avez de l’expérience: vous avez déjà servi de nombreux clients et possédez tout un actif de posts, e-mails ou messages de marketing automation qui ont fait leur preuve. Tout aussi important que le contenu de votre site ou votre catalogue, traduire ces actifs marketing est primordial pour réussir dans sa stratégie export.

En conclusion

Au-delà de la seule barrière linguistique, n’oubliez pas que se lancer à l’international est un projet stratégique qui implique bien des facteurs: conditions financières, juridiques et fiscales dans le pays cible, particularisme local lié à la consommation du produit, spécificité quant à l’usage d’internet et du commerce électronique, attentes en matière de service client, etc. S’exporter n’est pas qu’une histoire de traduction !

Autres sources pour rédaction:
E-commerce / Export : les e-commerçants français exportent principalement dans les pays frontaliers (Oxatis-KPMG)

2 réactions sur « 5 éléments à traduire parfaitement avant de lancer votre e-commerce à l’international »

  1. Tout à fait d’accord avec la conclusion ! La traduction est une condition nécessaire (bien développée ici) mais pas suffisante. Je pense notamment au webdesign (certaines couleurs ont mauvaises réputations dans certains pays), aux modes de livraison et aux moyens de paiement. Dans certains pays, le paiement à la livraison est la norme. Il faut donc adapter son tunnel de commande en conséquence.

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