15 bonnes pratiques pour un management moderne

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15 bonnes pratiques pour un management moderne

Etes vous un super manager? Voilà une bonne question…

Vous connaissez bien sûr la majorité des « techniques de management », mais seriez vous capable de vous les rappeler instantanément? On oublie trop souvent des « fondamentaux », ou on a tendance à s’accrocher à des habitudes archaïques.

Certes, ce billet n’a pas pour vocation de refaire une encyclopédie du management, mais voila 15 bonnes pratiques managériales -modernes et dans l’air du temps- à noter sur un post-it et à coller dans le coin de son ordinateur…

…Le manager au quotidien…

1 – Le bon manager entretient sa forme

Quand la santé va, tout va! Votre condition physique impacte obligatoirement vos performances.  Or le sport et l’exercice physique sont des éléments clés pour une bonne santé.Gardez votre corps tonique, dormez et alimentez vous correctement. Le sport est également un formidable exutoire qui vous videra la tête des soucis quotidiens du bureau.

2 – Le manager se soucie et inspecte la qualité de ses produits/services

Le client paye. Il attend un certain nombre de bénéfices en retour. Rien que pour cela, vous devez vous assurer que vous produisez avec la qualité attendue par votre client. Mais c’est également dans un souci de réputation & de crédibilité commerciale; comment trouver de nouveaux clients si vous n’êtes même pas arrivé à satisfaire ceux qui vous ont déjà fait confiance?

Gardez en tête que le bouche à oreille négatif va beaucoup plus vite que le bouche à oreille positif! Alors évitez de vous faire remarquer négativement et inspectez régulièrement la qualité de votre production.

3 – Un dirigeant cherche toujours à gagner de nouveaux clients

Sans nouveaux clients, une entreprise meurt ou finie esclave. Le souci d’entretenir la capacité de votre organisation à recruter de nouveaux clients doit trotter tous les jours dans votre tête, que vous soyez directeur commercial ou directeur technique.

Améliorez sans cesse votre « marketing », et conduisez vos équipes de manière à ce que vos produits / services se vendent toujours mieux et/ou toujours plus.

4 – Le manager est un « problem solver »

Le manager doit être importateur de craintes, et exportateur d’énergie. Rien dans la vie n’est un long fleuve tranquille, et chaque jour les managers sont confrontés à des problèmes en attente de solutions.

En tant que manager, fixez vous l’objectif de résoudre chaque jour au moins 1 problème important pour vos équipes. Vous verrez, vous partirez plus léger et beaucoup plus satisfait en fin de journée.

… Le manager et son « orientation client »…

5 – Gardez le contact avec vos clients actuels & gérez au mieux la relation client

Vos clients, c’est « votre » marché privé. Cultivez le, comme un potager que vous auriez entretenu malgré le gel et la grêle. Quand je parle de « cultiver », je ne parle pas forcément de « chouchouter ».

Le contexte d’hypra concurrence a forcé les entreprises à se tourner vers des modèles basés sur la satisfaction client. Ce phénomène renforce également l’exigence des clients. Les vendeurs doivent connaître de mieux en mieux leur cible, et tendre vers un modèle 100% personnalisé. C’est pourquoi il est nécessaire d’appuyer sa connaissance client sur des applicatifs CRM adaptés et performants. Connaître son client est la clé du business de demain. Commencez à stocker des données! De plus, les TIC vous permettent aujourd’hui de créer des systèmes d’information marketing couplés à vos activités web, qui automatisent et centralisent l’information client.

Vos clients sont adultes, et sont des « commerçants » au moment où ils traitent avec vous. Le service pour le service, la satisfaction pour la satisfaction, la gratuité pour la gratuité… cela ne fait pas tout. Je dirai même « c’est douteux »! La nouveauté, la forte valeur ajoutée, la différence sur les concurrents peut intéresser ceux qui vous ont déjà fait confiance. Vous verrez qu’ils seront même prêts à mettre la main au portefeuille. 😉 Souvenez vous toujours qu’il n’y a aucune raison de travailler avec un fournisseur qui ne vous permette pas vous même de mieux réussir sur votre marché.

6 – L’art de communiquer doit faire partie de la besace du manager

Un discours commercial « vieillot » joue sur la confiance et la crédibilité dont fait preuve votre marché envers votre marque.

Renouvelez les formes de communication, tout en capitalisant sur ce qui marche le mieux. Essayez que vous -comme votre équipe- soyez de bons communicants;

  • Utilisez des métaphores
  • Changez vos anecdotes
  • Améliorez sans cesse la pertinence de vos propos à la situation et aux personnes que vous rencontrez
  • Travaillez votre ton, ainsi que votre langage non-verbal
  • Apportez des preuves sur ce que vous dites

… Le manager et la prise de conscience de son environnement …

7 – Le manager doit faire du benchmarking

Le benchmarking consiste à évaluer son niveau de performance par rapport à d’autres acteurs, de votre secteur ou pas. Le but étant de décrypter les meilleures pratiques dans un domaine spécifique, en vue de soulever des gains de performances potentiels pour votre entreprise. Regardez comment se positionnent les leaders de votre industrie, inspirez vous des meilleurs.

Restez également à l’écoute du marché et des tendances. Le web vous facilite grandement la recherche. Pour mieux comparer avec votre propre entreprise pensez à établir des indicateurs, de manière à quantifier la performance dans la mesure du possible. Cette pratique arrive à point nommé après un diagnostic interne de votre organisation; vous détectez des faiblesses cruciales, et regardez ensuite chez les autres quelles sont les bonnes pratiques à prendre. [/caption]

8 – Le bon manager développe la réputation & la responsabilité sociale de son entreprise

Dans la vie, il y’a 2 sortes de business; ceux qui font du bien à la société -vendre des cannes pour les personnes âgées par exemple- et ceux qui font du mal -l’industrie du tabac par exemple. Ne cherchez pas à vous situer dans une des deux catégories; votre entreprise appartient aux 2!

L’entreprise est créatrice de valeur, mais également émettrice d’influence négative pour la société. L’enjeu de « demain » est devenu une tendance importante. Les clients ont soif d’équilibre entre les différents intérêts de toutes les parties prenantes, « planète terre » incluse. Ils ne prennent plus seulement en compte la qualité et le prix dans leur processus d’achat. Ils intègrent également vos valeurs humanitaires, écologiques et sociales.

Bref, en tant que manager, vous avez tout intérêt à la jouer « clean », n’est-ce pas?

… Le manager dans le pilotage de son activité…

9 – Le responsable utilise des indicateurs qui se focalisent sur la valeur ajoutée de son affaire

J’ai pour habitude de dire que le meilleur business est une boîte aux lettre où des inconnus mettent quotidiennement des chèques… Avec un investissement de 20€, vous pouvez gagnez beaucoup !

En tant que manager, vous vous intéressez donc à la performance interne de votre unité, et donc à votre EVA.

EVA = Résultat d’exploitation – (coût moyen pondéré du capital* [actif total -dettes circulantes à court terme])

Cet indicateur mesure le bénéfice qu’il vous reste une fois que vous avez pris en compte:

  • ce que vous possédez après avoir réglé vos dettes de moins de 1 an,
  • ce que vous coûte le fait de posséder ces actifs (intérêt de la banque ou rémunération exigée de l’actionnaire)

10 – Un bon responsable gère au mieux son yield management

Les affaires, c’est comme les montagnes russes: parfois ça monte, parfois ça descend. Rien dans la vie n’est strictement linéaire. Comme un cafetier à 18h qui doit faire des happy hours, un Dysneyland vide en Novembre qui doit brader ses entrées, un avion qui relie Cergy Pontoise au Groenland qui propose son vol à 20€…

Il vous faut donc décider régulièrement combien faut-il produire, et à quel prix le vendre. Une solide stratégie de yield management vous permet de « flexibiliser » votre modèle économique à l’équation de l’offre et la demande, de manière à maximiser vos profits. Pourquoi? Car vous optimisez vos capacités de production, et améliorez votre ratio [Total du bilan / Chiffre d’affaires] qui est un indicateur d’optimisation des ressources.

Dans les activités où les coûts fixes sont élevés, le plus dur est d’atteindre le point mort. C’est ce que le classicisme industriel appelle le « coût marginal« . Une fois le seuil de rentabilité atteint, le coût de production d’une unité supplémentaire devient très faible. En adaptant votre prix au plus juste, vous maximisez vos bénéfices en faisant tourner vos capacités de production à 100%.

11 – Un manager moderne doit s’outiller pour piloter au plus près du terrain

Rien ne vaut le terrain. Les mains dans le cambouis, vous apprendrez 10 fois plus vite qu’en consultant des livres. C’est pourquoi vous devez avoir des tableaux de bords « collés » à l’action et à l’opérationnel.

Le très fameux Balanced ScoreCard reste un classique pour une vision à 360° orientée sur l’action.

balanced scorecard
http://www.trumpuniversity.com/business-briefings/lib/resources/images/graphs/balanced_scorecard.gif

Ainsi, dans un tableau de 5 colonnes, vous retrouvez pour chacun des objectifs SMART liés aux 4 stratégiques:

  • L’objectif SMART formalisé
  • Les acteurs / Cibles de l’action
  • Les facteurs clés de succès associés
  • Les actions
  • Les indicateurs de performances

Et pas la peine de vous fixer des millions d’objectifs; focalisez vous sur ce qui est REELLEMENT important pour l’entreprise, sur ce qui fait votre avantage concurrentiel dans chaque domaine.

12 – Le manager se doit d’améliorer continuellement la productivité de son entreprise

Un des principes de la norme ISO 9000:2000 de management de la qualité est de « s’améliorer continuellement ». Le but est de trouver des solutions techniques et organisationnelles pour diminuer le niveau d’erreur. Remettez vous sans cesse en question. On atteint jamais la perfection.

Analysez vos processus, découpez  avec une attention chirurgicale les opérations clés de votre entreprise. Vous trouverez certainement des gisements de performances, des défauts à améliorer, des transitions entre les tâches à fluidifier… Ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières!

Une fois chaque étape de votre processus identifiée, essayez de quantifier le niveau de « valeur ajoutée » de chacune des tâches pour vos clients – ceux qui vous payent. Seules quelques tâches clés doivent apparaître parmi les 1 000 gestes quotidien que vous effectuez au bureau ou sur le terrain.

Gardez toutefois à l’esprit qu’il ne sert à rien d’être « parfait ». Pour rappel, la qualité c’est la délivrance d’un produit/service en correspondance avec les attentes de votre client, au moindre coût et au moindre effort. Evitez la « sur-qualité »; elle ne vous rapportera aucun € supplémentaire!

… Le manager dans sa gestion humaine…

13 – Le manager contrôle la bonne exécution des tâches qu’il délègue

Vous avez maintenant un plan d’action et avez réparti les rôles dans votre équipe? Félicitations. Reste à s’assurer maintenant  que vos projets avancent.

Respectez les bonnes règles pour déléguer, et pensez à vous tenir régulièrement au courant de l’avancement des travaux que vous confiez. Si jamais, le jour J, la présentation client n’est pas achevée, ce ne sera pas la faute d’un collaborateur, mais bien celle d’un manager. Mieux vaut prévenir que guérir.

Gardez également à l’esprit que le rôle du management est bien de renforcer la solidité de l’entreprise, dans l’optique de la pérenniser et de la faire fructifier tant se faire que peut. Donc, si vos projets stagnent, que rien n’avance, que vous n’avez rien apporté de neuf depuis quelques temps, vous pouvez remettre en question votre titre de « manager ». Au pire, vous vous plaindrez de vos équipes et donnerez ainsi une bonne raison à votre patron de vous virer!

14 – Un manager gère les compétences de son équipe dans le court, moyen et long terme

Personne n’est indispensable, mais la première ressources d’une entreprise, ce sont quand même ses hommes. Sans eux, rien n’est possible. Alors mettez les au coeur de vos préoccupations.

La complexité du monde actuel ne vous permet plus de décider seul. Pour renforcer les performances de son équipe, favorisez la notion « d’employabilité » à celle de « carrière ». Voyez vos ressources humaines comme un portefeuille de savoir faire et de qualités personnelles.

Votre rôle en tant que manager est de faire coïncider les compétences de l’équipe avec les besoins actuels et futurs de votre entreprise, dans l’optique de construire un avantage concurrentiel durable.

Cartographier l’ensemble des compétences que vous avez sous la main; il y’en a certainement une que vous sous-exploitez. Fixez vous également l’objectif de former votre équipe à une nouvelle chose chaque jour.

Dans ses activités de recrutement, de formation et d’évaluation, le manager aura tout à gagner à avoir formalisé un référentiel pour chaque poste de son unité. La base des fiches ROME est un excellent référentiel de base à adapter à votre activité. Anticipez vos besoins futurs, analysez les écarts avec le réel, corrigez le tir…

15 – Le manager inspire sa passion à ses équipes

La pression de l’enjeu fabrique la défaite quand le plaisir du jeu fournit l’énergie de la victoire… La routine opérationnelle est terrible. Elle tue votre créativité, votre capacité d’innover, votre plaisir.

Vous êtes un bon manager n’est-ce pas? Donc vous vous serez entouré des bonnes personnes… Et si ces individus sont si précieux à vos yeux, ils ne méritent pas que vous les lobotomisiez au travail.

Les leaders passionnés ne supervisent pas; ils montrent l’exemple. Ils poussent leurs équipes à penser, à stimuler leurs intellect, et les encouragent à tester leurs idées. Donnez leur un cadre de travail qui leur permettent d’exprimer tout leur potentiel. Partagez votre vision, inspirez l’amour pour vos produits/services… Croyez en vous, au travail d’équipe, au potentiel que représente votre entreprise… Et communiquez le ensuite à toute votre équipe!

Rappelez vous lorsque vous aviez 7 ans, vous aviez plein de rêves dans la tête… Rien n’a disparu, et c‘est en communiquant vos passions et vos rêves à vos collaborateurs que vous les motiverez et les mobiliserez derrière vous.

Et vous ? Quelles sont les bonnes pratiques que vous recommanderiez à un manager?

Technique de Management : Livres recommandés

Manageor de Barabel et Meier

HBR’s 10 Must Reads de Harvard Business Review

L’essentiel pour manager de Bartlett et Luecke

10 minutes pour coacher ses collaborateurs de Bungay Stanier

The Essential Managers Handbook de DK

Les 110 règles d’or du management de Templar

High Output Management de Andrew S. Grove

La boîte à outils du Management de Stern

La boîte à outils du manager de Juët

FAQ Technique de management

Ces techniques reposent sur 6 principes :

  • Piloter
  • Contrôler
  • Organiser
  • Déléguer
  • Animer
  • Diriger
  • Inspecter la qualité de ses produits et services dans un souci de réputation & de crédibilité commerciale
  • Recruter de nouveaux clients et gérer la relation client
  • Renouveler les formes de communication
  • Savoir faire du benchmarking pour évaluer son niveau de performance
  • Entretenir la réputation de l’entreprise
  • Améliorer la productivité de l’entreprise
  • Avoir une bonne gestion humaine en contrôlant l’exécution des tâches et en gérant les compétences des équipes.

On observe la naissance de projets prometteurs. Exemples :

  • Pour aider une équipe à gagner en cohésion, organiser un jeu dont le manager devient simplement un coach.
  • Inverser le rapport Manager/Managé pour libérer la parole.
  • Pour se remettre d’un échec, organiser des groupes de parole sur la capacité à prendre des initiatives et des risques, et les bénéfices imprévus d’un échec.
  • S’intéresser aux ressenti de l’équipe pour remédier aux non-dits et à communiquer sur les sentiments positifs comme négatifs.
  • Aller vers toujours plus de ludification.

14 réactions sur « 15 bonnes pratiques pour un management moderne »

  1. J’ai un peu roulé ma bosse et j’ai constaté qu’un grand nombre de « manager » n’ont pas de réelle formation.

    Ils sont souvent issue de promotion interne et c’est un vrai problème, car ça ne s’improvise pas.

  2. @modele de lettre: Le métier de manager est un métier à part entière, c’est vrai. Il demande des savoirs & des savoirs faire tellement spécifiques qu’une formation n’est pas trop! En revanche, tout dépend de la taille de l’entreprise, et des qualités personnelles -le savoir être- de chacun. Sans dire que cela remplace un « vrai » pro. du management, un bon manager s’affirme au travers de sa personnalités & de ses qualités personnelles.

  3. Bonjour,
    merci pour cet article plein de très bons conseils.
    tous les managers modernes utilisent un iphone ou un téléphone android, non ? 🙂
    voici un blog sympa à lire sur son téléphone avec des idées originales pour animer vos équipes et gagner en efficacité :
    http://efficacite-performance.org/
    A plus!

  4. Bonjour,

    Super article. Je partage ton opinion sur pas mal de point.
    Aujourd’hui un manager doit offrir à ses équipes des outils permettant de gagner en efficacité (Il en existe des gratuits comme http://www.strawee.com, etc.) et développer les compétences de ses équipes…
    Un bon manager est un atout pour l’entreprise et pour ses équipes,

    Marc

  5. @Repot: Merci Marc pour ta contribution. Effectivement, 1 bon manager = 1 atout supplémentaire pour l’entreprise! Ceci dit, je pense que les outils ne font pas tout!

  6. Pour ma part, je rajouterais…
    16 – le manager protège ses équipe du stress auquel ils sont soumis dans le cadre leur activité.

    Bien souvent, j’ai vu des managers qui, non content de ne pas le faire, rajoutent stress et pression aux gens qu’ils encadrent. Avec un résultat désastreux… Des gens qui s’usent très vite, un turnover élevé, de grosses erreurs par moments, une perte totale de motivation. L’équilibre de vie vie pro / vie privé doit, d’une certaine façon, être préservé par le manager.
    Et c’est loin d’être facile !

  7. On ne naît pas leader, on le devient. Car, n’est pas chef celui qui le veut, mais celui qui le peut ! A la condition d’avoir trouver l’alchimie entre la personnalité héritée de notre enfance et les capacités qu’on a développées tout au long de notre parcours. Or, la mission confiée demande à la fois d’être autoritaire mais à l’écoute, de connaître ses collaborateurs, tout en instaurant une certaine distance pour ne pas rentrer dans leur sphère privée et rester objectif, de se surpasser et d’accepter ses échecs. Tout un paradoxe. Plutôt qu’un métier, il faut le voir comme une mission à accomplir ou une vocation qui se confirmera à l’âge adulte.

  8. Un article qui fait apprendre quelque chose!
    Je pense que le point de la transmission des « talents » de dirigeant est très important, être soucieux des personnes qui l’entourent au lieu de barricader derrière la porte de son bureau, sans oublier de donner de l’aide à ceux qui travaillent avec lui afin de développer les qualité de son équipe (confiance en soi, l’ambition, honnêteté, partage de l’information, enthousiasme, etc), ce qui évoluera par conséquent sa rentabilité.

  9. Pas mal comme conseils ! Je cherche à monter une équipe de vendeurs pour la cigarette électronique KYF.
    je vais essayer !

  10. Bonjour,
    J’ai trouvé ce blog extremement pertinent par « l’opérationnalité » des modèles qui y sont proposés. Etant consultant en la matière, il est clair que le manager « par promotion » n’a pas suffisamment de savoirs et de savoir-faire pour remplir ses missions telles que ses subalternes l’attendent. Au mieux, c’est une personne qui possede un grand sens commercial pour « vendre ses idées » (il y a meme des formations pour cela!). Mais pour ce qui touche à la communication, à la transmission des savoirs, le compte n’y est pas.

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